La recherche de fonds propres …
Non !
Les fonds propres limités ne sont pas une fatalité !
(Eric Bonnet – Fondateur du Groupe Haxone)
Depuis quelques mois, le fondateur du Groupe a repris son bâton de pèlerin afin d’épauler les entreprises innovantes et/ou en croissance pour les aider à travers l’optimisation de leurs capitaux propres.
Eric Bonnet bonjour, merci de nous accorder ces quelques instants, dîtes-nous en plus sur cette motivation qui vous a poussée à approfondir le pilotage de l’entreprise…
Bonjour. En effet, quel chef d’entreprise ne s’est pas trouvé bloqué, frustré, entravé – j’ose le terme – par des capitaux propres nsuffisants pour bénéficier de concours bancaires nécessaires à son développement, afin de répondre à des appels d’offres ou dans le cadre d’une levée de fonds qui mènerait à une dilution trop importante dans la gouvernance de la société ?
Vous parlez de renforcer le capital de sa société en injectant des fonds personnels ?
Justement pas (rires), je vous parle d’optimisation de la richesse intrinsèque de l’entreprise qui existe d’ores-et-déjà en son sein, sans être valoriser au bilan.
Savez-vous que d’après des sources officielles, seulement 30% au maximum de cette valeur est reflétée dans la comptabilité générale ?
Allons, donnez nous la recette !
Pas de magie noire, je vous rassure.
Dans le système comptable franco-français, une dimension entière de l’Entreprise passe à la trappe: je vous parle de l’ensemble des facteurs qui composent le Capital Immatériel de la société.
Cela semble flou, pour ne pas dire immatériel justement !
Détrompez-vous, le législateur en la personne du Ministère des Finances (avant qu’il soit renommé Ministère du Redressement Productif- ndlr) s’est penché officillement sur la question dès 2009 à travers certaines orientations qui ont été complétées et finalisées fin 2013 ! Cette méthodologie est aujourd’hui directement applicable pour la société qui souhaite voir refléter son vrai patrimoine dans son bilan.
En clair, comment cela se passe t-il ?
De façon concrète, quatre phases majeures:
– L’audit de valorisation des actifs immatériels de l’entreprise, autour de 9 grandes « familles » parmi lesquelles le capital partenaires, système d’information ou savoir-faire…
– La rédaction d’un rapport professionnel sur la valeur des fonds propres réactualisés de l’entreprise
– La validation de ces préconisations par un commissaire aux comptes
– Le plus souvent, par souci d’optimisation fiscale, la remontée de cette « valeur » sur un holding de tête détenu par les associés historiques
Un exemple concret ?
Plusieurs! Dans des secteurs variés, comme quoi l’innovation se trouve partout, pas seulement dans les nouvelles technologies:
– Passer de 500.000 euros à 1.700.000 euros pour une entreprise de négoce de pièces automobiles !
– Multiplier par 300 les fonds propres d’une start-up très prometteuse dans l’univers pourtant pléthorique de la communication digitale !
Et beaucoup d’autres.
Cela semble trop beau pour être vrai !
En France, les entreprises doivent de nos jours se montrer agiles dans tous les sens du terme et sortir du marasme ambiant pour mettre en exergue leur savoir-faire, leur valeur ajoutée réelle au-delà des prévisions d’activité du business-plan !
Pardon pour ma franchise, mais ce mécanisme bordé et professionnel de valorisation permet, « simplement » si j’ose dire, de montrer à l’extérieur la véritable richesse de l’entreprise.
En bonne « franco-française », j’ose la question: combien pour réaliser cet exploit ?
Le prix de ce type d’étude dépend bien entendu du volume de travail à fournir… mais je vous répondrai simplement qu’une petite entreprise, type start-up, devra consacrer moins de 10.000 € pour cela, frais du commissaire aux comptes inclus !
N’oubliez pas qu’en plus, cette dépense qui reste un investissement peut parfaitement être refinancée par la suite sous forme de financement bancaire et/ou de subvention! Peu de risques et un résultat visible immédiatement en bas du papier à en-tête de l’entreprise (là où figure généralement le capital social de l’entreprise – ndlr).
J’imagine alors que vous et vos équipes dédiées ne chôment pas en ce moment !
C’est peu de le dire, mais je trouve une vraie reconnaissance de nos métiers par ce type d’action, au-delà de la finance ou la comptabilité traditionnelle.
Je passe mes journées à « évangéliser » le marché sur cette opportunité absolument fantastique, qui démontre – si besoin était – qu’en France aujourd’hui, il existe encore des dispositifs trop peu connus pour participer au développement et l’épanouissement du tissu économique local.
Merci Eric pour cette information qui s’annonce révolutionnaire.
Pas de révolution en soi, simplement un juste retour au pragmatisme de l’entreprise, qui ne se résume pas à des tableaux nomenclaturés.
Je vous remercie.
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